En ces périodes de fêtes, une petite douceur visuelle : « l’ange de l’oubli » d’après « Se souvenir des belles choses » de Zabou Breitman.
Réalisation : Nicolas Habas avec Maud Roussel et Gaël Dubreuil.
Production Studio Un Poil Court – Lumière : Guillaume Ogier – Montage : Léna Pradelle
En effet, j’ai eu la joie de retrouver un de mes complices de l‘Institut du Court-Métrage Rhône-Alpes, l’excellent réalisateur Nicolas Habas avec qui je n’avais pas travaillé depuis plus de 10 ans (voilà de quoi nous rajeunir). L’occasion pour moi de découvrir son travail du côté des comédiens. Précis, bienveillant et efficace, un vrai plaisir sur le plateau qui, je l’espère, transpirera en vidéo.
Puisque la séquence est l’histoire d’une rencontre cela a été le cas avec la comédienne Maud Roussel dont nos réseaux respectifs n’ont eu de cesse de se croiser et de se recroiser sans que nous n’ayons jusqu’alors l’opportunité de jouer ensemble. Cela a été chose faites pour cette petite vidéo et qu’elle rencontre : Si nous avions déjà expérimenté d’embrasser un partenaire de jeun dans le cadre d’une pièce de théâtre ou d’une improvisation, c’était pour tous les deux « notre première fois à l’écran ». 😉
Je sais par expérience que je vais avoir « la question » : Ce n’est pas bizarre d’embrasser quelqu’un dans le cadre de son travail ? Je répondrai donc succinctement ici que ce n’est jamais anodin et que cela reste du jeu (ou l’inverse). A vous de voir à l’écran ce que cela rend, car c’est finalement cela le plus important. Et pour plus de détail sur ce sentiment étrange de l’acteur à ce sujet, je vous invite à relire ma chronique Je ne suis pas qu’un corps ! dans mon livre témoignage « Sur le front d’Avignon » (et oui je ne recule devant rien pour vendre un livre)