Pas vraiment le temps de faire une aussi longue chronique (j’ai d’autres choses à écrire ;-)) que lors de ma participation l’an dernier (revoir : Un jeune auteur en dédicace aux Quais du polar 2015).
En quelques mots, même si c’est ma deuxième participation en tant qu’auteur, j’ai encore une fois été très impressionné par le monde que ce festival attire (près de 70 000 visiteurs l’an dernier et cette année semble avoir battu de nouveaux records).
Très heureux des rencontres grappillées avec les lecteurs dans les dédicaces (parfois touchantes, drôles ou absurdes).
Cette année, j’ai tout de même dédicacé à un lecteur inconnu (comme pour le soldat inconnu). La première réaction de ce lecteur à ma demande mécanique « pour qui ? », un petit mouvement de surprise, me reviendra plus tard en mémoire. Je soupçonne celui-ci d’être l’auteur et musicien Noël Balen que j’aurai dû reconnaître (après tout peu importe, je le remercie pour ce petit moment de poésie). Je remercie aussi tous ceux qui, à cette demande, me répondent : « pour moi ». Réponse qui me fera toujours sourire. Il faudrait un jour que je commence réellement ces dédicaces par ce pour « moi » au lieu du prénom du lecteur que je redemande gentiment après une petite plaisanterie pour croquer l’absurde de la situation.
Très heureux également bien sûr des rencontres avec les autres auteurs (un merci particulier à Naïri Nahapétian pour son transfert d’expérience sur l’écriture et notamment la difficulté du deuxième roman).
Pour finir cette chronique, finalement plus longue que je ne pensais, il me serait compliqué de ne pas remercier aussi les Quais du polar, la libraire le bal des ardents de m’avoir reçu et Jean-Luc mon éditeur et l’auteur et collègue Jacques Morize.
et pour ceux qui n’ont pu se déplacer vous pouvez toujours vous procurer mon thriller apéritif A qui profite le kir® ? en librairie ou sur le site de l’éditeur 😉