Depuis que je joue « Un pour tous, moi d‘abord ! », j’ai eu la joie de jouer dans des décors incroyables des champs, des théâtres, des écoles, des châteaux, des prieurés, une arène, dans sur un port dans lequel était amarré un trois-mâts et même sur un volcan.
Cette année, comme l’année dernière, nous avons également pu jouer dans des quartiers avec un public qui a moins accès à la culture et qui pour beaucoup ne sont pas allés au théâtre.
Parce que mon travail c’est aussi ça. Parce que l’art de la rue permet cela. Notre intervention en HLM avec « Un pour tous, moi d’abord ! » Et les magnifiques rencontres qui en ont découlé.